11h |
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Spectacle – Histoires sans queue ni tête et de la mirgueta qui danse dans mes fourchettes
de 11:0 à 12:0
Espace Gatignol
HISTOIRES SANS QUEUE NI TÊTE ET DE LA MIRGUETA QUI DANSE DANS MES FOURCHETTES
SPECTACLE BILINGUE FRANÇAIS-OCCITAN
Un mélange de conte, de musique, de chant et de percussion d’objets du quotidien.
« Histoires chantées, chansons contées, onomatopées cadencés, poésies slamées, trictrac…. tractric… la paraula navega a son enveja ,rebombela, tesca los fials dal permera lengatge, la joie des mots qui ricochent, raconteurs de bobards, inventeurs d’histoires ! »
Jeux du langage, jeux sonores, les mots et les sons s’inspirent mutuellement.
Notre fil c’est cette musique entre la casserole et la corde du violon ou le soufflet de l’accordéon, entre la roue de vélo et la voix de la chanteuse, entre les langues française et occitane. La musique est partout, tout le temps, ça ne s’arrête jamais, finalement. C’est un retour à la veillée où tous les bruits alentours font partie intrinsèque de l’histoire. La souris qui gratte ou le talon qui claque, lo bruch, le bruit résonne et une histoire démarre.
- Lisà Langlois Garrigue : conte, chant , percussions
- Estelle Andrieu : chant, accordéon, percussion
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12h |
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13h |
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14h |
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Conférence Agnès Gayraud
de 14:0 à 15:30
Espace Gatignol
« Musique populaire, folklorique, traditionnelle ? Distinguer des positions esthétiques dans les pratiques musicales en quête d’enracinement. »
Agnès Gayraud est musicienne – autrice, compositrice et interprète sous le nom de La Féline (chanson, pop) et dans GRIVE (doom folk slowcore). Elle est aussi, comme philosophe, l’autrice de l’ouvrage « Dialectique de la pop » (La Découverte, 2018), une vaste recherche philosophique sur les généalogies et significations de la musique populaire enregistrée depuis le début du XXeme siècle. Elle reviendra dans le festival sur la notion de musique populaire, de folklore et d’authenticité, proposant des réflexions sur le sens contemporain des musiques « trad ».
- Agnès Gayraud : conférencière
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15h |
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Concerts domestiques: Mana Serrano — Borguefül — Julien Desailly
de 15:30 à 17:30
Village
Mana Serrano
Mana Serrano est violoneuse, chanteuse et danseuse de musiques montagnardes occitanes.
Elle fait corps avec ces vieilles chansons paysannes qui jaillirent des joies et des peines des Femmes , universelles émotions, intemporelles situations.
Son chant raconte , chevauchant son violon qui danse. La cavalcade d’une parole – musique qui joue à exalter la beauté, exorciser la souffrance et vibrer ensemble l’âme des Hommes.
- Violon , voix, planche à pieds, guimbarde
- En acoustique
Borguefül
Avec sa contrebasse, principalement jouée à l’archet, Mélanie Loisel fait cheminer l’auditoire dans un territoire imaginé, fantasmatique, magique même.
L’atmosphère des morceaux rappelle les musiques traditionnelles, toutefois colorées par de nombreuses incises de jeu contemporain voire bruitiste et de jeu classique. Borguefül matérialise un monde musical invisible, fait de vibrations mélancoliques, menant parfois à de petites transes.
- Mélanie Loisel : contrebasse, chant
Julien Desailly
Julien Desailly (Mafila Ko, A Spurious Tale, Dix-Sept Saturnes) habite en Auvergne, il passe beaucoup de temps sur sa cornemuse. Son exploration est avant tout celle d’un instrumentiste. Il met au point ses techniques de jeu afin d’étendre les possibilités et d’utiliser le fort potentiel de son instrument dans les domaines de la musique répétitive, la microtonalité et une recherche de timbre, tout en approfondissant les phrasés et ornementations des musiques irlandaises et bulgare.
- Julien Dessailly : gaïda (cornemuse bulgare)
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Bal pour enfants – Fanmirette
de 15:30 à 16:30
Espace Gatignol
C’est la sortie du nouveau répertoire de bal pour enfant FANMIRETTE ! Petits crapauds, attrapez vos copains, copines, parents et grands-parents et mettez-vous en piste pour un bal auvergnat qui rebondit !Au programme : danses collectives et danses à deux, farandoles, chansons à répondre et chansons à gestes… c’est facile ! Il suffit de suivre l’animateur·trice et tout le monde entre dans la danse. Un moment de fête et de partage intergénérationnel, au son des musiques traditionnelles brayaudes.
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16h |
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17h |
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18h |
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Leveret
de 18:0 à 19:15
Église
Leveret est une collaboration unique entre trois musiciens folk d’Angleterre : Andy Cutting, Sam Sweeney et Rob Harbron, tous considérés comme des interprètes exceptionnels et des maîtres de leurs instruments. Leurs performances allient musicalité accomplie, interprétation convaincante et spontanéité : ils misent sur la confiance mutuelle, l’écoute et la créativité. Leur jeu, détendu et naturel, captive le public et l’invite à partager une musique profondément intemporelle.
- Andy Cutting (Accordéon diatonique)
- Sam Sweeney (violon)
- Rob Harbron (concertina)
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19h |
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20h |
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Duo Tanghe Coudroy
de 20:30 à 22:15
Espace Panouillère
Un bal folk plein d’énergie, de finesse et de complicité avec les danseurs. Un moment convivial et chaleureux, avec la fraîcheur de la spontanéité et le régal d’une musique construite qui sonne.
Leur répertoire trouve une résonance particulière dans le répertoire breton auquel ils sont tous les deux attachés.
Suite au séjour en Suède de Martin la démarche du duo se construit pour produire un bal folk profondément influencé par la culture nordique qui nous plonge dans un univers original.
Au fil des bals, le répertoire s’élague pour ne garder que le principal, l’essentiel : la cadence, le mouvement et le plaisir dans le partage !
- Martin Coudroy : Accordéon et chant
- Aurélien Tanghe : Guitare
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La Malène
de 20:30 à 22:0
Salle Michau la Tsabre
La Malène, entre Sud-Ouest et Auvergne. Violon, cornemuses et voix s’accordent pour vous faire danser !
- Anaïs Perrinel : Violon, voix
- Léonie Chevalaz : cornemuses, voix, pieds
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21h |
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Mafila Ko
de 21:0 à 22:15
Espace Gatignol
Adama Koeta et Julien Desailly se rencontrent en Afrique de l’Ouest, à Bobo Dioulasso. Ils créent le groupe Mafila Ko, rapidement rejoint par le contrebassiste de jazz Julien Moneret. La particularité du groupe est d’assumer les rapports dont ils héritent (culture mondialisée, colonisation), et d’essayer de « faire avec » en composant ensemble, collégialement, pour trouver ses réponses à la question « comment assembler des musiques de cultures différentes ? ». En résulte une sorte de musique de chambre, tantôt festive, tantôt douce, parfois écrite, parfois improvisée, souvent inédite, vivante, à l’image des liens qui se jouent entre les trois musiciens.
- Adama Koeta : kora, n’goni, chant en dioula
- Julien Desailly : uilleann pipes, low whistle, bodhran
- julien Moneret : contrebasse, guitare
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22h |
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René Lacaille
de 22:30 à 0:15
Salle Michau la Tsabre
Figure légendaire du sega moderne, grand griot du chant maloya, René Lacaille et son accordéon est l’incarnation d’une culture musicale créole unique, celle de l’île de la Réunion qui intègre des rythmes et des instruments africains, indiens, malgaches et européens. Ancien compagnon de route de Luc Donat et Alain Peters, grand voyageur des folklores africains et méditerranéens, il chante avec Gatir les fêtes insulaires et ravive les bals créoles.
- René Lacaille – Accordéon
- Marco Lacaille – Basse, percussions
- Aldo Guinart – Flûte, saxophone
- Valentin Jam – Batterie
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Sourdurent
de 22:45 à 0:0
Espace Panouillère
L’entité Sourdure jusqu’ici portée en solo par Ernest Bergez, se duplique et s’incarne au pluriel : Sourdurent.
Thèmes et chants s’enroulent dans des engrenages rythmiques complexes et s’enchainent dans un élan continu. Librement digéré, le répertoire traditionnel issu du Massif Central mute et s’hybride à des formes inventées, inspirées des musiques traditionnelles grecques, perses, maghrébines… En ressort une musique qui s’adresse autant aux oreilles, aux pieds, qu’aux tripes et peut-être au cœur. C’est peut-être un bal, un concert ou une cérémonie spontanée. La langue y prend une place centrale, faisant office de matière musicale autant que de tremplin poétique et émotionnel. Entre le français et l’occitan, un langage personnel émerge et se fraye un passage au milieu des mots anciens, passés de bouche en bouche.
- Ernest Bergez : violon, voix, électronique, podorythmie
- Jacques Puech : cabrette, voix, podorythmie
- Elisa Trebouville : sazbüş, voix, fifre
- Colin Delzant : violoncelle, voix
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Tatane
de 22:45 à 0:15
Espace Gatignol
Le duo Tatane, ce sont deux paires de souliers rompus à la danse qui font trembler le plancher au rythme des répertoires du Massif Central. Cousu à la main, tanné par le soleil, usé par les routes et les parquets, le cuir se plie, se déplie et se déforme au son des mélodies, boucles et bourdons obstinés de l’accordéon et du violon.
- Eva Blickhan : Violon, pieds
- Gilles Michaelidis : Accordéon diatonique, pieds
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23h |
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0h |
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Ardante
de 0:30 à 2:15
Espace Panouillère
Le duo ARDANTE, composé de Charles Pouységur à l’accordéon et de Théo Bonnaventure au violon, incarne la fougue et l’énergie des volcans d’Auvergne. Les deux amis passionnés de musique traditionnelle fusionnent les mélodies de leur terre natale avec des touches inspirées d’autres traditions musicales. Que ce soit dans l’ambiance animée des bals ou lors de concerts plus intimes, ARDANTE séduit par sa vitalité et sa sincérité. Leur musique spontanée et élaborée, baptisée « Auvergne Volcanic Music » reflète une tradition vivante et dynamique, capable de toucher un public large et varié. Avec ARDANTE, plongez dans un univers sonore où tradition et modernité s’entrelacent, et laissez-vous emporter par la puissance et la chaleur de leur nuée ardente musicale.
- Charles Pouységur, accordéons diatoniques, pieds.
- Théo Bonnaventure, violon
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Rhizottome
de 0:30 à 2:0
Espace Gatignol
Déjà plus de quinze ans qu’Armelle Dousset et Matthieu Metzger cultivent leur duo pas comme les autres. Associant l’accordéon à cet oiseau rare qu’est le saxophone sopranino, Rhizottome s’inspire de ce qui fait tradition au prisme d’improvisations malicieuses et jubilatoires. Leurs influences s’étendent du Poitou jusqu’au Japon, voyages et divagations d’où ils ramènent des airs bouturés ça et là. Déterrer, semer, replanter. Ils filent dans leur musique la métaphore botanique (le rhizotome désignant en ancien français le jardinier ou l’outil coupeur de racines). Pleine de verve, gorgée de vie, leur musique s’emploie à envoyer joyeusement valser les codes et les repères, nous entraînant au passage irrésistiblement dans la danse.
- Armelle Dousset : accordéon
- Matthieu Metzger : saxophone sopranino
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Versant
de 0:45 à 2:15
Salle Michau la Tsabre
Musique à danser du Massif Central !
- Antoine Cognet : banjo
- Yann Gourdon : vielle à roue
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1h |
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2h |
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